Je pars en vacances en train
Pour les longues distances, le train est le mode de transport le moins émetteur de CO₂ par passager, loin devant l’avion ou la voiture.
En 2026, je choisis donc le train pour partir en vacances : moins d’émissions de polluants dans l’air et de gaz à effet de serre, moins de stress dans les embouteillages et un trajet qui fait déjà partie du voyage.
Pour trouver des idées de destinations facilement accessibles en train, vous pouvez faire un tour sur Hourrail, une plateforme qui propose des itinéraires pensés pour voyager autrement.
Quelques exemples :
- Pour celles et ceux qui rêvent d’aurores boréales : Un itinéraire en train de nuit pour partir à la chasse aux lumières du Nord.
- Pour celles et ceux qui veulent faire la fête après les partiels : Direction Barcelone depuis Montpellier, sans avion et avec le soleil au bout des rails.
- Pour celles et ceux qui ont besoin de nature (beaucoup de nature) : Cap sur le Grand Puy, parfait pour respirer, marcher et décrocher.
Je marche ou pédale au moins 30 minutes par jour
En France, la voiture reste encore très utilisée, même pour effectuer de très courtes distances : 42 % des personnes utilisent leur voiture pour des trajets domicile-travail de moins d’1 km, alors que le vélo est le mode de transport le plus rapide en agglomération.
Cette année, je vais me déplacer davantage à pied ou à vélo pour limiter la pollution et réduire les émissions de gaz à effet de serre. C’est aussi une bonne résolution pour ma santé car cela permet de lutter contre la sédentarité. Selon l’OMS, 40 % des adultes et 80 % des enfants ne pratiquent pas suffisamment d’activité physique en France.
Je ne dépasse pas le temps d’une chanson sous la douche
En moyenne, en France, nous consommons chaque jour 148 litres d’eau par personne. Nous l’utilisons majoritairement (80 %) pour les usages domestiques (hygiène corporelle, sanitaires, lessive, vaisselle), alors que nous en consommons seulement 1 % pour boire.
En 2026, je me fixe donc un objectif simple : une douche courte, sans dépasser le temps d’une chanson.
Pour vous aider, on vous a même préparé une petite playlist spéciale douche :
- Douche express : Melodrama – Theodora feat. Disiz
- Douche modérée : Alors on danse – Stromae
- Douche pour les shampoings : Californication – Red Hot Chili Peppers
Je fais le bilan de ma garde-robe
Sait-on vraiment ce que l’on a dans son armoire et ses placards ?
Selon une étude de l’ADEME, les Français estiment posséder en moyenne environ 80 vêtements, alors que les comptages réalisés à domicile montrent plutôt une garde-robe réelle proche de 175 pièces par personne. Autrement dit : on a souvent beaucoup plus de vêtements qu’on ne le pense !
Avant d’acheter, je commence donc par faire le tri : je redécouvre ce que j’ai déjà, je donne, vends ou recycle ce que je ne porte plus, et je privilégie la seconde main quand j’ai besoin d’un nouveau vêtement.
Si un vêtement est abîmé, je m’organise pour qu’il soit réparé ou recyclé. Je consulte la carte « Longue vie aux objets », un outil de l’ADEME qui permet de trouver près de chez soi des solutions pour réparer, donner, revendre ou recycler ses objets et vêtements.
J’achète ? Je n’achète pas ? Je me pose désormais 5 bonnes questions
Influencés par la publicité et le marketing, nous achetons beaucoup et nous renouvelons vite nos objets avant même qu’ils soient inutilisables. Mais tout cela a un coût pour la planète. À chaque fois que l’on fabrique un objet, on utilise de l’énergie, de l’eau, des ressources naturelles. Puis on alourdit encore son empreinte écologique en le transportant, en le stockant pour s’en débarrasser parfois très rapidement.
La solution ? N’acheter que ce dont on a absolument besoin.
Comment faire pour savoir si on achète ou pas ? Posez-vous 5 questions avant d’acheter :
- Ai-je vraiment besoin d’acheter ça ?
- Puis-je attendre ?
- N’ai-je pas déjà un objet quasiment identique ?
- Où a-t-il été fabriqué ?
- Vais-je vraiment l’utiliser souvent ?
Pour bien mémoriser tout cela, nous vous avons préparé une petite affiche à accrocher dans votre chambre.
J’accroche le calendrier des fruits et légumes de saison sur mon frigo
Manger des aliments quand c’est la bonne saison, c’est un bon moyen pour faire baisser l’empreinte carbone de votre assiette sans sacrifier le plaisir de bien manger. Cela évite de faire venir des produits de l’autre bout du monde ou de les faire pousser sous des serres chauffées.
Gardez le calendrier des fruits et légumes de saison sous vos yeux toute l’année en l’accrochant dans votre cuisine, par exemple sur le réfrigérateur. Vous saurez ainsi quoi acheter et cela peut même vous donner de nouvelles idées de recettes.
Découvrez nos succulentes recettes des 4 saisons !
J’apprends à cuisiner de nouvelles recettes végétariennes
En 2026, j’apprends à cuisiner des plats sans viande et qui donnent envie.
Avec mon calendrier de fruits et légumes de saison accroché sur le réfrigérateur, je peux vite vérifier si les aliments des recettes végétariennes que je prévois de cuisiner sont bien de saison.
Testez nos recettes faciles à base de légumineuses, idéales pour se lancer sans prise de tête. Et pour aller plus loin, pensez aussi aux recettes antigaspi, parfaites pour cuisiner les restes et éviter le gaspillage.
À tester :
J’apprends à réparer moi-même ou j’utilise le bonus réparation pour faire réparer par des pros
En 2026, j’apprends à réparer davantage de choses : avec des tutos de couture, de bricolage, ou en rejoignant des RepairCafés (ce sont des ateliers collectifs où l’on apprend à réparer ses objets avec l’aide de bénévoles. Ambiance sympathique et coaching très utile !).
Et quand la réparation maison ne suffit pas, il existe une aide pour vous aider à faire réparer vos vêtements et objets par des pros : le bonus réparation. Ce dispositif permet de réduire le coût de la réparation de nombreux objets du quotidien si vous vous rendez chez des réparateurs labellisés « Quali Répar ».
Savoir quels objets sont concernés et trouver un réparateur près de chez vous.
Je modère mon utilisation de l’IA
Utiliser une IA générative, ce n’est jamais sans impact sur la planète. Derrière chaque réponse, il y a des serveurs qui utilisent beaucoup d’énergie, surtout pour les usages répétés ou les contenus lourds comme les images ou les vidéos.
En 2026, j’essaie donc d’y penser avant de lancer un prompt : est-ce que j’en ai vraiment besoin ? Une recherche classique ou une source fiable suffisent parfois. Par exemple, pour des points factuels, comme connaître la capitale du Cambodge, mieux vaut consulter directement une source fiable comme Wikipédia plutôt que d’interroger l’IA.
Et quand j’utilise une IA, je fais des demandes claires et ciblées, pour éviter les allers-retours inutiles.
Je participe à une action solidaire et/ou écologique
Agir pour le climat, c’est encore plus motivant quand on n’est pas seul.
Association locale, collectif citoyen, groupe d’étudiants : il existe mille façons de s’engager pour quelques heures ou pour plus longtemps. À chacun de trouver son rythme et son action.
Pour trouver des missions solidaires et écologiques, consulter sans attendre le site jeveuxaider.gouv.fr pour rejoindre des collectifs près de chez vous.
Pour rester informé et mieux comprendre certains sujets d’actualité, je consulte régulièrement MtaTerre.fr Retrouvez toutes les semaines des nouveaux articles, actualités et bons plans pour mieux comprendre les enjeux écologiques et passer à l’action !